Du latin argentarius : qui fait le commerce de l’argent ; ou encore : terme de bourse, celui qui procure de l’argent aux spéculateurs (Littré). A ne pas confondre avec le grand argentier, surintendant des Finances ou, de nos jours et familièrement, le ministre des Finances ; ni avec ce meuble ou l’on range l’argenterie.
« Mais, avant tout, il faut que l’exercice du travail soit libre, c’est-à-dire que le travail soit organisé de telle sorte, qu’il ne faille pas payer aux argentiers et aux patrons ou maîtres cette liberté du travail, ce droit du travail que mettent à si haut prix les exploiteurs d’hommes. » (Frédéric Bastiat, citant le journal La Ruche populaire).